• Miracle aux archives de Gallio ?

    Pour la troisième semaine de février, le thème du défi d’écriture proposé par #lemoisGeneatech est : “les découvertes que vous n’auriez pas pu faire sans vous rendre aux archives“. J’avoue avoir eu du mal à trouver un sujet, car il ne m’est pas arrivé si souvent de me déplacer dans les archives en Italie, même si j’ai pu visiter celles de la paroisse de Borso et les archives d’État de Venise.
    J’ai donc un peu détourné le thème et j’ai décidé de vous raconter mes aventures avec les archives paroissiales de Gallio (Vénétie).

  • G comme Gallio

    Gallio est le village de naissance de mon arrière-arrière grand-mère, Maria Maddalena Finco (Sosa n°9 de mon père), qui y a vu le jour en 1828. Son patronyme est d’ailleurs typique de la commune.

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    Eglise San Bartolomeo à Gallio [Wikipédia]

    Gallio est situé sur l’altiplano d’Asiago, appelé aussi Altipiano dei sette comuni, car ce territoire formait à l’époque de la Sérénissime République de Venise une fédération autonome subdivisée en 7 circonscriptions. Il a été peuplé par des germains venus de Bavière au XIe siècle, qui y ont formé la minorité des Cimbres (de l’allemand Zimmerer qui signifie charpentier). Les Cimbres constituent aujourd’hui encore l’une des minorités linguistiques d’Italie. Leur idiome, le cimbre, est dérivé du bavarois.

  • Les métiers de mes ancêtres

    Quelle meilleure occasion qu’un premier mai, fête du travail et des travailleurs, pour analyser les professions exercées par nos ancêtres ?
    Tous les actes que j’ai en ma possession ne mentionnent pas la profession de mes ancêtres, loin de là.
    Malgré tout, je pense que la majorité d’entre eux exerçaient un métier lié à la terre, soit en tant que propriétaire soit en tant que fermier travaillant pour un autre propriétaire.