• Cartographie : où sont nés mes ancêtres ?

    A la fin du mois dernier, j’ai lu avec un grand intérêt l’article Cartographiez vos ancêtres ! publié sur le blog “Des Aïeux et de Hommes”. Je partage en effet entièrement l’avis de l’auteur concernant l’intérêt d’avoir un aperçu très visuel des données enregistrées dans sa généalogie.
    J’ai donc entrepris de m’inspirer de l’approche proposée, en l’adaptant un peu :

    • Si j’en reste au niveau du département (ou de la province pour l’Italie) la carte sera assez peu intéressante : en effet mes ancêtres ont très peu bougé (qu’il s’agisse d’ailleurs des Vénitiens ou des Savoyards). Je suis donc descendue au niveau de la paroisse, en choisissant celle du baptême/naissance
    • Le passage par une requête SQL me semblant quelque peu rébarbatif, j’ai choisi une autre voie pour obtenir le fichier .csv nécessaire à l’outil de cartographie
  • Mon Sosa 666, un sorcier ?

    tw_666A l’approche d’Halloween et de ses petits démons, un vent de folie diabolique a commencé à souffler sur Twitter parmi les généablogueurs : la recherche du #sosa666. Je dois admettre qu’habituellement le bourrage de crâne “made in USA” du 31 octobre me tape plutôt sur les nerfs. Mais si c’est prétexte à un article généalogique, pourquoi pas ?…

    Je n’ai pas encore trouvé chacun des 3 actes essentiels relatifs à mon sosa 666. Mais j’ai néanmoins réussi à rassembler certaines informations à son sujet :

  • Le “sang neuf” des prêtres

    Si les prêtres catholiques ont toujours été tenus au célibat, cela ne les oblige en rien à ne pas vivre entourés de femmes. Pour qu’ils puissent se consacrer le plus possible à leur mission, ils étaient aidés pour les tâches quotidiennes par les sacristains et autres servantes. Dans les campagnes, les “bonnes de curé” étaient même souvent des membres de leur famille. Serge Brunet, dans son article “Les prêtres des campagnes de la France du XVIIe siècle : la grande mutation”*, écrit par exemple au sujet du diocèse de Bordeaux :

    Les curés vivent d’ailleurs rarement seuls ; ils sont accompagnés par une sœur, une belle-sœur ou une nièce.

    La situation est sans doute sensiblement équivalente en Italie à cette époque. J’en ai tout au moins trouvé quelques exemples au sein des registres de Vénétie que je parcours depuis plusieurs années.