A pagar e a morir, gh’è sempre tempo

“Pour payer et pour mourir, on a toujours le temps”

 

– Comment, monsieur le docteur, vous prétendez que je vous dois 150 francs de visites !
Mais vous savez bien que ma femme est morte.
L’avez-vous fait mourir avec vos drogues ?
– Assurément non!
– Est-elle revenue à la santé ?
– Mais non, puisqu’elle est morte !…
– Alors, de quoi faut-il vous rétribuer ?
Mon dimanche, revue populaire illustrée, 15 avril 1906.