• Un doyen chez mes ancêtres

    Les généathèmes proposés pour décembre par Sophie Boudarel sont “le bénévolat généalogique” et “un bonheur généalogique de l’année”.

    Cet article va me permettre de combiner les deux thèmes, car le bénévolat vient de me procurer un joli bonheur généalogique !

  • Après le sapin, voilà le marronnier : bilan 2016

    Il est un moment où l’arbre du généablogueur prend la forme d’un marronnier : c’est celui du traditionnel bilan de fin d’année.
    J’ai décidé une nouvelle fois de me plier à cet exercice, ne serait-ce que pour prendre un peu de recul sur mon activité généalogique.

    2016 sur le site

    Pour ce qui est des statistiques de visite, l’exercice va être un peu bancal car j’ai constaté voilà quelques jours que le compte de mon site dans Google Analytics a été totalement pollué par des robots spammeurs et que les chiffres sont de ce fait inexploitables.
    J’avais néanmoins installé le plugin Jetpack sur mon site en décembre 2015, et j’ai pu de ce fait obtenir quelques données. Mais comment les comparer valablement avec celles des années antérieures ?…

  • Le “sang neuf” des prêtres

    Si les prêtres catholiques ont toujours été tenus au célibat, cela ne les oblige en rien à ne pas vivre entourés de femmes. Pour qu’ils puissent se consacrer le plus possible à leur mission, ils étaient aidés pour les tâches quotidiennes par les sacristains et autres servantes. Dans les campagnes, les “bonnes de curé” étaient même souvent des membres de leur famille. Serge Brunet, dans son article “Les prêtres des campagnes de la France du XVIIe siècle : la grande mutation”*, écrit par exemple au sujet du diocèse de Bordeaux :

    Les curés vivent d’ailleurs rarement seuls ; ils sont accompagnés par une sœur, une belle-sœur ou une nièce.

    La situation est sans doute sensiblement équivalente en Italie à cette époque. J’en ai tout au moins trouvé quelques exemples au sein des registres de Vénétie que je parcours depuis plusieurs années.