ancêtres italiens

Mes commentaires sur des outils et sites facilitant la recherche de ses ancêtres italiens

  • rituale romanum

    Une quête d’états d’âmes…

    Dans le cadre du Mois Geneatech, lancé par la communauté GeneaTech, des défis d’écritures sont proposés aux généablogueurs. Pour la première semaine de février, le thème est “présenter une source peu connue”. J’ai choisi de parler ici d’un registre paroissial un peu particulier.

    Quand le généalogiste pense “registres paroissiaux”, il pense essentiellement “BMS”, c’est à dire “baptême, mariage, sépulture”. Les prêtres devaient pourtant tenir d’autres registres, comme celui des confirmations (cresime en italien) ou celui qui est le sujet de cet article : le Stato delle anime, ou Liber Status animarum en latin, soit le livre de “l’état des âmes”.

  • Initiatives collaboratives en généalogie italienne

    Tous les généalogistes qui font des recherches en Italie partagent rapidement un constat désolant : le manque de registres paroissiaux consultables en ligne. Cet état de fait, dû à l’organisation des archives italiennes et à la réticence des autorités religieuses, est encore exacerbé par la rareté des associations généalogiques locales.

    Depuis plusieurs années des forums, comme TuttoGenealogia, ou des groupes Facebook tentent de mettre en relation les généalogistes.
    Plus récemment, certaines initiatives ont vu le jour pour permettre le partage des photographies ou des dépouillements faits par les généalogistes bénévoles dans toute l’Italie.

    Cet article décrit certaines de ces initiatives.

  • Les Italiens de France au prisme des naturalisations (I)

    En octobre dernier, un article publié sur le carnet de recherche Hypothèses des Archives Nationales montrait comment les données de naturalisation pouvaient être utilisées pour étudier l’immigration des Polonais dans les Hauts-de-France. En le lisant, je m’étais dit qu’il serait intéressant de faire la même chose pour les Italiens (monomaniaque, moi ?).
    J’avais ensuite remisé cette idée dans un coin de ma mémoire, mais elle s’est rappelée à mon bon souvenir au moment du confinement national dû à un maudit virus. Pourquoi ne pas profiter de ce temps imposé en intérieur pour essayer ?”. Chose dite, chose faite…