branche Vedovotto

La branche Vedovotto, originaire de Borso del Grappa mais issue des De Cogno venus d\'ailleurs, est celle du grand-père paternel de mon père

  • Antonia et Bernardin – 28 juin 1654

    Le thème du moins de juin, pour le divertissement mensuel qui débute, est le mariage. Mais pour ma généalogie paternelle, je n’ai trouvé ni photographie, ni menu, ni faire-part plus anciens que ceux du mariage de mes parents. Il est bien possible d’ailleurs que de tels documents n’existent tout simplement pas. J’ai donc décidé de rechercher le plus ancien mariage dont j’avais la “photographie”, à savoir la copie de l’acte de mariage. A partir de ce document et des faits et dates marquants de la vie de ce couple, extraits des registres paroissiaux, j’ai essayé de broder en imaginant ce qu’avait été leur vie. Dans le récit qui suit, toute ressemblance avec des personnes ayant existé est donc totalement volontaire, mais les détails sont inventés…

    Le mariage d’Antonia BONATTO, fille de Nadal, et Bernardin GULIN, fils de Bastian (patronymes tels qu’ils sont orthographiés dans l’acte de mariage) a été célébré par Don Giuseppe Lelii dans l’église San Zenone de Borso le 28 juin 1654. D’après mon logiciel de généalogie, Antonia et Bernardo sont les SOSAs n°537 et 536 de mon père. Mais, alors que j’ai choisi ce couple sur le seul critère de la date de son mariage, j’ai réalisé juste après qu’il figurait aussi bien dans l’ascendance de mon grand-père que dans celle de ma grand-mère. Si le logiciel que j’utilise ne gardait pas uniquement le n° le plus petit en cas d’implexe, Antonia et Bernardin afficheraient donc également les n° 897 et 896 dans la numérotation SOSA.

  • S comme Sebastiano

    Mon nonno, Sebastiano

    Sebastiano Maria Vedovotto était mon nonno, c’est-à-dire mon grand-père paternel.
    Il est né le 9 mai 1891 à Borso del Grappa et s’y est éteint le 22 avril 1962, soit il y a exactement 51 ans aujourd’hui. Nous ne nous sommes jamais vus et je ne sais malheureusement à son sujet guère plus que le peu que mon père m’en a dit :